"L'Histoire laisse tant de zones blanches qu'elle permet la légende, mais aussi le roman. Dans celui-ci, les prises de liberté sont nombreuses (un exemple: Aliénor fit de l'abbaye de Fontevraud son refuge, elle était donc beaucoup plus pieuse que dans ce livre). Les emprunts à la psychologie moderne ne manquent pas. Que les historiens ne jugent ces libertés ni blasphématoires, ni hors de propos, mais bien comme le plein exercice de l'imagination qui s'enchante à combler les vides, en prenant appui sur l'armature chronologique" (chronologie, pp. 227-228).
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